LES LAVIEILLE - QUATRE ATELIERS D'ARTISTES
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Hôtel des ventes
rue Albert Einstein
41100 Vendôme
ORDRE DE PASSAGE
EUGÈNE LAVIEILLE
1 - 7
ADRIEN LAVIEILLE
20 - 111
MARIE-ADRIEN LAVIEILLE
120 - 137
ANDRÉE LAVIEILLE
150 - 212
MICHEL TUFFRAU
220 - 224
ENTOURAGE
250 - 264
Après décès, d'un fonds familial.
EXPOSITIONS
Vendredi 12 janvier de 14h à 17h
Samedi 13 janvier de 10h à12h - 14h à 17h
Dimanche 14 janvier de 10h à 12h.
PAIEMENT COMPTANT- FRAIS : 17,94%
LES LAVIEILLES : QUATRE ATELIERS D'ARTISTE :
De la dynastie des peintres LAVIEILLE, de 1820 à 1960, nous présentons quatre tenants des six membres connus. Ces fonds d’atelier, de quatre artistes répartis sur trois générations, proviennent directement de leurs descendants, et sortent de l’ombre à l’occasion de cette vente à Vendôme.
À travers ces générations d’artistes, il nous est offert de remarquer comment l’art du paysage, fruit de l’académisme du début du XIXème siècle, s’émancipe pour devenir le déclencheur de la révolution de l’Art Moderne au tournant du siècle.
Ainsi, Eugène Lavieille nous révèle la genèse de l’impressionnisme. Abandonnant la ville, parmi les artistes de l’École de Barbizon et suivant une direction déjà indiquée par Corot, il travaille en extérieur, sur « le motif », délaissant son atelier pour rencontrer les éléments naturels dans leur fluctuation.
Son fils, Adrien Lavieille, traite les thèmes de la modernité impressionniste : la campagne parisienne notamment, révélatrice d’une urbanisation galopante. Ces paysages n’appartenant plus au monde rural et pas encore au monde citadin, nous montre un monde en métamorphose où la campagne s’éclipse devant la ville.
Adrien se marie avec Marie Petit, peintre de portraits.
Leur fille, Andrée Lavieille, hérite de prédispositions artistiques familiales. Elle développe tout au long de sa vie un certain classicisme s’inspirant des natures mortes de Chardin à la musicalité tranquille. Parallèlement, elle se montre plus audacieuse, quand en Bretagne notamment, après Paul Gauguin, elle est attirée par les paysages du Pouldu. Elle devient alors l’héritière de l’école de Pont Aven et magnifie, par des coloris tranchés, cette côte rocheuse du Finistère.
En l’absence de signature, un cachet authentifiant l’œuvre sera apposé.
CONFÉRENCE
SAMEDI 13 JANVIER à 15h
"Les Lavieille, une dynastie de peintres de 1820 à 1960"
SITES INTERNET CONSACRÉS AUX ARTISTES
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eugène_Lavieille
http://adrien-lavieille.blogspot.com
http://marie-adrien-lavieille.blogspot.com
http://andree-lavieille.blogspot.com
EXPOSITIONS
Vendredi 12 janvier de 14h à 17h
Samedi 13 janvier de 10h à12h - 14h à 17h
Dimanche 14 janvier de 10h à 12h.
PAIEMENT COMPTANT- FRAIS : 17,94%
LES LAVIEILLES : QUATRE ATELIERS D'ARTISTE :
De la dynastie des peintres LAVIEILLE, de 1820 à 1960, nous présentons quatre tenants des six membres connus. Ces fonds d’atelier, de quatre artistes répartis sur trois générations, proviennent directement de leurs descendants, et sortent de l’ombre à l’occasion de cette vente à Vendôme.
À travers ces générations d’artistes, il nous est offert de remarquer comment l’art du paysage, fruit de l’académisme du début du XIXème siècle, s’émancipe pour devenir le déclencheur de la révolution de l’Art Moderne au tournant du siècle.
Ainsi, Eugène Lavieille nous révèle la genèse de l’impressionnisme. Abandonnant la ville, parmi les artistes de l’École de Barbizon et suivant une direction déjà indiquée par Corot, il travaille en extérieur, sur « le motif », délaissant son atelier pour rencontrer les éléments naturels dans leur fluctuation.
Son fils, Adrien Lavieille, traite les thèmes de la modernité impressionniste : la campagne parisienne notamment, révélatrice d’une urbanisation galopante. Ces paysages n’appartenant plus au monde rural et pas encore au monde citadin, nous montre un monde en métamorphose où la campagne s’éclipse devant la ville.
Adrien se marie avec Marie Petit, peintre de portraits.
Leur fille, Andrée Lavieille, hérite de prédispositions artistiques familiales. Elle développe tout au long de sa vie un certain classicisme s’inspirant des natures mortes de Chardin à la musicalité tranquille. Parallèlement, elle se montre plus audacieuse, quand en Bretagne notamment, après Paul Gauguin, elle est attirée par les paysages du Pouldu. Elle devient alors l’héritière de l’école de Pont Aven et magnifie, par des coloris tranchés, cette côte rocheuse du Finistère.
En l’absence de signature, un cachet authentifiant l’œuvre sera apposé.
CONFÉRENCE
SAMEDI 13 JANVIER à 15h
"Les Lavieille, une dynastie de peintres de 1820 à 1960"
SITES INTERNET CONSACRÉS AUX ARTISTES
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eugène_Lavieille
http://adrien-lavieille.blogspot.com
http://marie-adrien-lavieille.blogspot.com
http://andree-lavieille.blogspot.com
Lot 196
Andrée LAVIEILLE. Le Gué Turelure, à Cocherel (près de Pacy-sur-Eure, dans l'Eure). Aquarelle et crayon. 21 x 35 cm.
Adjugé : 240 €