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AUTOGRAPHES, VIEUX PAPIERS, PHOTOGRAPHIES, CARTES À JOUER

 
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Lot 110

MIEUSEMENT Médéric (1840-1905).Lot de 6 PHOTOGRAPHIES, 2 ovales et 4...
MIEUSEMENT Médéric (1840-1905).Lot de 6 PHOTOGRAPHIES, 2 ovales et 4...
MIEUSEMENT Médéric (1840-1905).Lot de 6 PHOTOGRAPHIES, 2 ovales et 4...
MIEUSEMENT Médéric (1840-1905).Lot de 6 PHOTOGRAPHIES, 2 ovales et 4...
MIEUSEMENT Médéric (1840-1905).Lot de 6 PHOTOGRAPHIES, 2 ovales et 4...
MIEUSEMENT Médéric (1840-1905).Lot de 6 PHOTOGRAPHIES, 2 ovales et 4...

MIEUSEMENT Médéric (1840-1905).
Lot de 6 PHOTOGRAPHIES, 2 ovales et 4 rectangulaires, sur papier albuminé, contrecollées sur carton.
Les Chasses du Duc de La Rochefoucauld au Château de La Gaudinière.
Cinq des photographies ont pour légende imprimée : "Photog. par MIEUSEMENT à BLOIS, FORÊT DE FRETEVAL. CHÂTEAU DE LA GAUDINIÈRE à Mr de la ROCHEFOUCAULT Duc de DOUDEAUVILLE 1863 à 1866"
Carton : 37 x 47 cm.
Photographies ovales : 15 x 20 cm.
Photographies rectangulaires : 17 x 25 cm et 22 x 29 cm.
(défraîchi)

Médéric Mieusement né à Gonneville-la-Mallet en Seine-Maritime, semble avoir d'emblée embrassé la profession de photographe. A 19 ans, il est au service de Félix Duban, architecte chargé de la restauration du château de Blois. Il pratique un temps le portrait qu'il délaisse pour la vue d'architecture. En 1872, il propose au ministre de l'Instruction publique de réaliser "l'album gigantesque des monuments civils et religieux de la France" qu'il entreprend dès 1876. L'année suivante, il se voit confier une commande d'ampleur pour l'Exposition de 1878 : photographier les monuments en cours de restauration. En 1881, il est chargé de photographier les cathédrales sous la dérection des architectes diocésiens. En 1893, il voyage encore pour le compte de la direction des Cultes en Algérie et se retire progressivement à Blois pour se réinvestire dans les activités de la Société d'excursions artistiques qu'il a fondée en 1879. Il meurt à Blois en 1905.

Ces photographies nous présentent un important témoignage du château de la Gaudinière, détruit par un incendie le 17 novembre 1934, et donnent toutes leur valeur au travail de Mieusement dont l'ambition était de conserver une image complète du patrimoine architectural français.



Adjugé : 850 €

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