FR
EN
36ème VENTE GARDEN PARTY - II
Lundi 27 mai 2024

Gustave Le Gray (Français, 1820-1884)
Jetée de Cette [Sète] - Mer Méditerranée, 1857

Epreuve d'époque sur papier albuminé d'après un négatif verre au collodion.
Numéro manuscrit à l’encre noire, du tirage de l’atelier Le Gray, au dos, en bas à droite « 10,825. ».

Haut. 30 Larg. 39,7 cm.
(cette épreuve a conservé ses belles tonalités d'origine et ne comporte que quelques repiques et une légère trace chimique d’époque dans le ciel)

Provenance : propriété du Val-de-Loire, depuis plusieurs générations.

Gustave Le Gray, 1857. An albumen print of a collodion glass plate negative depicting the pier of Sète, on the Mediterranean Sea.

Littérature :
- "The lovely sea-view. A study of the marine photographs published by Gustave Le Gray 1856-1858" par Ken Jacobson, Petches Bridge, 2001. Image reproduite pl. II, page 43 (épreuve de la collection du Wilson Center for Photography) ;
- "Gustave Le Gray", sous la direction de Sylvie Aubenas, Paris, BnF, Gallimard, 2002. Illustration n°126, page 106 et catalogue 130 page 366 (épreuve de la collection musée des Beaux-Arts de Troyes - dépôts du musée des A.T.P. intitulée Jetée de Cette - Mer Méditerranée n°12).

Cette photographie est une variante, au même cadrage, de celles reproduites dans les ouvrages de Sylvie Aubenas et de Ken Jacobson. Elle trouve un écho animé dans une gravure du Monde Illustré du 23 mai 1857 (pages 8-9) intitulée « La ville et le Port de Cette, d’après une photographie de Gustave Le Gray ».

Adjugé : 3 800 €
36ème VENTE GARDEN PARTY - II
Lundi 27 mai 2024

Gustave Le Gray (Français, 1820-1884)
Marine, étude de nuage, 1856

Epreuve d'époque sur papier albuminé à partir de deux négatifs verre au collodion : l’un pour le ciel, l’autre pour la mer.
Numéro de tirage, manuscrit à l’encre noire, de l’atelier Le Gray, en bas à droite au dos de l’épreuve, en partie coupé « 51 ».
Douces tonalités homogènes. Sur la ligne d’horizon, à gauche de l’image, on devine la présence d’un brick.

Haut. 31,5 Larg. 39,9 cm.
(cette épreuve a conservé ses belles tonalités d'origine et ne comporte que quelques repiques et une légère trace chimique d’époque dans le ciel)

Provenance : propriété du Val-de-Loire, depuis plusieurs générations.

Gustave Le Gray, 1856. An albumen print entitled "Marine, étude de nuage" ("Marine, study of clouds") combining two collodion glass plate negatives, one depicting the sky and the other the sea.

Littérature : "The lovely sea-view. A study of the marine photographs published by Gustave Le Gray 1856-1858" par Ken Jacobson, Petches Bridge, 2001. Image reproduite pl.1, page 33, sous le titre « Vue de Mer, ciel nuageux, c. 1856 ». Reproduction de l’épreuve conservée au Victoria & Albert Museum.

Cette rare épreuve est à rapprocher des études de ciel de Le Gray, décrites au chapitre « Marines de Normandie. Etés 1856 et 1857 (catalogue 109 à 126), et particulièrement de l’étude de nuages 117 de l’ouvrage "Gustave Le Gray", Paris, BnF - Gallimard, 2002.

Adjugé : 6 800 €
36ème VENTE GARDEN PARTY - II
Lundi 27 mai 2024

Gustave Le Gray (Français, 1820-1884)
Portrait de Marguerite Lacressonière, c.1855

Epreuve d’époque sur papier albuminé, à partir d’un négatif verre au collodion.
Portrait de la grande actrice, au visage serein et souriant, réalisé dans le studio Le Gray, 35 Boulevard des Capucines à Paris. Ce tirage, aux tonalités volontairement claires, était destiné à être rehaussé de couleurs à l’aquarelle ou à l’huile.
Signature GUSTAVE LE GRAY à droite sur l’épreuve, par un timbre encré en rouge.
Emouvant envoi autographe de son époux, daté du jour de décès de l'actrice, à son dernier auteur qui écrivit pour elle la pièce succès Les Fugitifs : « Offert à Mr Ferdinand Dugué / pour elle !... / 26 janvier 1859 / Lacressonnière ».

Haut. 27,7 Larg. 21,1 cm.
(teintes claires volontaires pour la mise en couleurs, halo ovalisé aux contours du portrait, caractéristique des portraits de Le Gray. Les quelques retouches d’époque à l’encre ont foncé avec le temps. Quelques traces anciennes au dos du montage, sans dommage sur l’épreuve).
Monté sur bristol d’époque, recoupé au format 29,4 x 23 cm.

Provenance : ancienne collection Fildier.

Gustave Le Gray, ca. 1855. A rare portrait picture of French actress Marguerite Lacressonière. Signed. With a handwritten note from her husband dated to the day of her death. This print, with deliberately light tones, was intended to be enhanced with watercolor or oil colors.

Très rare portrait de Madame Lacressonnière (Lyon, 1815 - Paris, 1859) dont on ne connait que deux épreuves différentes d’une même séance de pose : celui présenté dans cette vente et sa variante, non signée par Le Gray, qui se trouve dans l’album des portraits de personnalités composé par Léon Maufras, conservé à la BnF (feuillet 88 vue 179).

Marguerite Gérinière, épouse Lacressonière, nait en 1815 à Lyon et décède le 26 janvier 1859. Elle débute sur les planches à Lyon à l’âge de 14 ans. Elle poursuit ses représentations en province puis, pour une saison, à la Gaîté à Paris. De 1843 à 1846, elle est engagée à Marseille. En 1846, Alexandre Dumas crée le Théâtre Historique (devenu par la suite Théâtre Sarah Bernhardt et actuel Théâtre de la Ville), dont elle devient en 1847 l'actrice fétiche. Elle joue jusqu’en 1850 dans la Reine Margot (rôle-titre), mais aussi Monte Cristo, Catilina, Angèle, Henri III et sa cour Cette année là, elle épouse Louis Charles Adrien Le Sot de la Panneterie (1819-1893), dit Lacressonière, dont elle se sépare en 1856. Elle joue successivement à la Gaîté en 1851, au Cirque de l’impératrice en 1856, à l’Odéon en 1858 et au Théâtre de l’Ambigu-Comique, où elle finit sa carrière, épuisée.

L’envoi de Monsieur Lacressonnière à Monsieur Dugué date du jour de la mort de Marguerite « pour elle ! », rendant hommage aux derniers instants de la grande actrice à son dernier auteur. Ferdinand Dugué (1816 -1913), auteur dramatique, est le créateur avec Auguste Anicet-Bourgeois du drame à grand spectacle Les Fugitifs, créé le 21 juin 1858 à l’Ambigu-Comique. Madame Lacressonnière du Théâtre Imperial est engagée spécialement pour jouer le rôle-titre féminin de Suzanne, épouse de David, joué par Omer. Dans une autre distribution pour ce spectacle (en alternance ou bien suite au décès de Marguerite Lacressonnière), c’est Monsieur Lacressonnière qui jouera David, avec Madame Marie Laurent dans le rôle de Suzanne.

A la suite des cent représentations des Fugitifs, à l’Ambigu-Comique, Mme Lacressonnière tombe malade de fatigue. Séparé de sa femme depuis quelques années, Monsieur Lacressonnière se conduit galamment, en homme de cœur, à la nouvelle de sa maladie. Il vient s’asseoir à son chevet et elle rend son dernier soupir entre ses bras. La presse témoigne avec émotion de sa disparition :

Le Figaro - Programme - Quotidien du lundi 31 janvier 1859. 1re année - N° 24.
"Madame Lacressonnière malade depuis quelques temps est morte mercredi dernier. Cette perte sera vivement sentie. Elle était une des artistes les plus distinguées de Paris, et le drame moderne perd en elle une précieuse interprète "

Le Monde Dramatique du 3 février 1859.
"Marguerite Lacressonnière est inhumée au Père-Lachaise. Le buste ornant sa sépulture qui la représente tenant un masque, a été réalisé grâce à une importante souscription d’époque, qui confirme sa très grande notoriété."

Sites consultés : Gustave Le Gray portraits, Sylvie Aubenas BnF. Gallica.bnf.fr / Les archivesduspectacle.net

Estimation : 2 000 € ~ 2 500 €
MODE, ARGENTERIE, OR & VINS
Samedi 10 février 2024

Provenant de George Sand à Nohant
Service en faïence de 63 pièces

au décor d'un panier fleuri comprenant : 13 assiettes creuses, 23 assiettes plates, 18 assiettes à dessert, deux raviers de deux formes, un saladier, deux légumiers, deux plats ronds, deux jattes carrées.
Certaines pièces marquées.

Faïencerie de La Villa, Bonnétable (Sarthe), XIXe siècle.

Assiettes creuses : Diam. 22,5 cm.
Assiettes plates : Diam. 22,5.
Assiettes à dessert : Diam. 20 cm.
Raviers : Long. 23 et Diam. 20 cm.
Saladier : Diam. 28,5 cm.
Légumiers : Diam. 25 cm.
Plats : Diam. 31 cm.
Jattes : Long. 18,5 cm.
(fêles, égrenures)

Provenance : acquis en 1977 auprès de Christiane Sand, peintre, ayant-droit de George Sand et conservateur du Musée George Sand de La Châtre (Indre) ; collection particulière, Tours. Attestation jointe.

Oeuvre en rapport : une assiette du même modèle est encore conservée et présentée dans une vitrine de la maison de George Sand à Gargilesse.

George Sand, née Amantine Aurore Lucile Dupin (1804-1876), part vivre à Nohant à l'âge de 4 ans, suite au décès brutal de son père lors d'une chute de cheval, peu après son retour des campagnes napoléoniennes. Elle y est élevée par sa grand-mère dans un domaine érigé au milieu du XVIIIe siècle et tisse des liens durables avec la région et les habitants des alentours. A la mort de celle-ci en 1821, elle s'en retrouve propriétaire et y réside quelques temps avec son mari et ses enfants avant de publier son premier romain "Indiana" en 1832, coupant par la suite ses liens maritaux et faisant de l'endroit un lieu de rencontre pour les grands artistes de l'époque. On y croise ainsi Eugène Delacroix, Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Théophile Gautier et son amant Frédéric Chopin, tous grands défenseur des valeurs républicaines.

Adjugé : 7 000 €
ARTS+DESIGN #7
Dimanche 12 novembre 2023

Alfred Janniot (Français, 1889-1960) Enlèvement d'Europe, c. 1925 Plâtre. Haut. 42 Larg. 42 Prof....

Alfred Janniot (Français, 1889-1960)
Enlèvement d'Europe, c. 1925

Plâtre.

Haut. 42 Larg. 42 Prof. 13 cm.
(accidents)

Provenance :
- collection Jean Niermans (1897-1989), architecte, grand prix de Rome ;
- par descendance, Touraine.

Nous remercions Madame Anne Demeurisse qui a confirmé l'authenticité de cette œuvre et se tient à la disposition des acheteurs pour établir un certificat.

Oeuvres en rapport :
- Jean Théodore Dupas, L'Enlèvement d'Europe, graphite, plume, encre noire, fusain. gouache noire et blanche sur papier beige, 1934. Saint-Quentin, musée des Beaux-Arts Antoine Lécuyer, inv. 2002.1.1 FA.
- Janniot. Enlèvement d'Europe. Terre cuite. Oeuvre détruite en avril 1943. Saint-Quentin, musée des Beaux-Arts Antoine Lécuyer. inv. BA 190.
- Janniot. Enlèvement d’Europe, plâtre patiné, vers 1925. Collection privée. Reproduit in Emmanuel Bréon, Claire Maingon, Victorien Georges, Alfred Janniot Monumental, Norma éditions, 2022, p. 36.
- Janniot. Enlèvement d’Europe, plâtre, vers 1925. Collection privée. Reproduit ibid p. 36.
- Janniot. Enlèvement d’Europe, plâtre patiné, 72 x 54 cm. Collection privée, reproduit in Edwige Anne Demeurisse, Alfred Janniot, Somogy, 2003, p. 69.

L'ENLÈVEMENT D’EUROPE

« Ce thème de la mythologie grecque fut très prisé par Alfred Janniot et Jean Dupas, amis depuis leur séjour à la Villa Médicis, comme par leurs condisciples : une belle princesse tyrienne, prétexte à représenter un beau nu féminin, enlevée par Zeus qui s'est métamorphosé en magnifique taureau blanc pour la séduire. Cette oeuvre fait écho au dessin de Jean Dupas, L’Enlèvement d’Europe (1934), lui-même acheté par la Ville (Saint-Quentin) en 1936.

À plusieurs reprises, le peintre et le sculpteur travaillèrent de concert, Janniot traduisant en sculpture l’esprit de Dupas. Après Titien, Véronèse, Pierre Mignard, François Boucher, Gustave Moreau ou Henri Matisse, tous peintres, Alfred Janniot, comme d’ailleurs le sculpteur Jacques Lipchitz, s’empare du sujet, qu’il traite avec vigueur et grande sensualité. À l’élan bondissant de son taureau tout en muscles s’oppose la figure statique d’Europe, séduite et couchée sur le dos de l’animal dans une posture instable et presque en déséquilibre. Janniot appréciait tant sa création qu’il s’en servit pour orner sa correspondance. Déposée dans la salle d’attente de la préfecture régionale, l’oeuvre fut malheureusement brisée en avril 1943.»
in Emmanuel Bréon, Claire Maingon, Victorien Georges, Alfred Janniot Monumental, Norma éditions, 2022, p. 27-28.

Adjugé : 6 500 €
ARTS+DESIGN #7
Dimanche 12 novembre 2023

Alfred Janniot (Français, 1889-1969) Enlèvement d'Europe, c. 1925 Terre-cuite. Haut. 37,5 Larg. 39 Prof. 11 cm. Montée sur...

Alfred Janniot (Français, 1889-1969)
Enlèvement d'Europe, c. 1925

Terre-cuite.

Haut. 37,5 Larg. 39 Prof. 11 cm.

Montée sur un socle en bois (Haut. totale. 43,5 cm).

Provenance :
- collection Jean Niermans (1897-1989), architecte, grand prix de Rome ;
- par descendance, Touraine.

Nous remercions Madame Anne Demeurisse qui a confirmé l'authenticité de cette œuvre et se tient à la disposition des acheteurs pour établir un certificat.

Oeuvres en rapport :
- Jean Théodore Dupas, L'Enlèvement d'Europe, graphite, plume, encre noire, fusain. gouache noire et blanche sur papier beige, 1934. Saint-Quentin, musée des Beaux-Arts Antoine Lécuyer, inv. 2002.1.1 FA.
- Janniot. Enlèvement d'Europe. Terre cuite. Oeuvre détruite en avril 1943. Saint-Quentin, musée des Beaux-Arts Antoine Lécuyer. inv. BA 190.
- Janniot. Enlèvement d’Europe, plâtre patiné, vers 1925. Collection privée. Reproduit in Emmanuel Bréon, Claire Maingon, Victorien Georges, Alfred Janniot Monumental, Norma éditions, 2022, p. 36.
- Janniot. Enlèvement d’Europe, plâtre, vers 1925. Collection privée. Reproduit idid p. 36.
- Janniot. Enlèvement d’Europe, plâtre patiné, 72 x 54 cm. Collection privée, reproduit in Edwige Anne Demeurisse, Alfred Janniot, Somogy, 2003, p. 69.

L'ENLÈVEMENT D’EUROPE

« Ce thème de la mythologie grecque fut très prisé par Alfred Janniot et Jean Dupas, amis depuis leur séjour à la Villa Médicis, comme par leurs condisciples: une belle princesse tyrienne, prétexte à représenter un beau nu féminin, enlevée par Zeus qui s'est métamorphosé en magnifique taureau blanc pour la séduire. Cette oeuvre fait écho au dessin de Jean Dupas L’Enlèvement d’Europe (1934), lui-même acheté par la Ville (Saint-Quentin) en 1936.

À plusieurs reprises, le peintre et le sculpteur travaillèrent de concert, Janniot traduisant en sculpture l’esprit de Dupas. Après Titien, Véronèse, Pierre Mignard, François Boucher, Gustave Moreau ou Henri Matisse, tous peintres, Alfred Janniot, comme d’ailleurs le sculpteur Jacques Lipchitz, s’empare du sujet, qu’il traite avec vigueur et grande sensualité. À l’élan bondissant de son taureau tout en muscles s’oppose la figure statique d’Europe, séduite et couchée sur le dos de l’animal dans une posture instable et presque en déséquilibre. Janniot appréciait tant sa création qu’il s’en servit pour orner sa correspondance. Déposée dans la salle d’attente de la préfecture régionale, l’oeuvre fut malheureusement brisée en avril 1943.»
in Emmanuel Bréon, Claire Maingon, Victorien Georges, Alfred Janniot Monumental, Norma éditions, 2022, p. 27-28.

Adjugé : 8 500 €
ARCHIVES - COLLECTION STANISLAS ANDRÉ STEEMAN
Mardi 10 octobre 2023

Politique - Sciences]
LOT D’AUTOGRAPHES DIVERS

Lot de + de 30 pièces manuscrites, dont :
• L.S. Henri-Jacques-Guillaume Clarke duc de Feltre (1765-1818), ministre de la Guerre ;
• L.A.S. Jean Joseph Gustave Cler (1814-1859), général et écrivain ;
• P.A.S. et carte de visite Pierre Waldeck-Rousseau (1846-1904), président du Conseil ;
• L.A.S. Adam-Charles Girard (1837-1918), chimiste, 1 page in-8 : « Paris 29 mai 1882 Mon cher collègue cela doit être archi-connu, mais moi qui suis un ignorant, j’en ai été frappé. Sous un grand cèdre du Liban est un buisson de pervenches. De chaque touffe s’échappent nombre de rameaux de force et de couleur normale (…) J’ai regardé celui-ci au microscope et j’ai vu de grosses cellules se cloisonnant au milieu et se séparent ensuite. Mais qu’est-ce que cela ?... » ;
• L.S. Raymond Poincaré (1860-1934), ministre des Finances ; Pierre Tirard (1827-1893), ministre de l’Agriculture ; Léon Say (1826-1896) ministre des Finances ;
• P.A.S. Ange Guépin (1805-1873), médecin et écrivain ;
• 2 L.A.S. Gaston Bonnier (1853-1922), botaniste ; Julien Costantin (1857-1936), botaniste et mycologue ;
• L.A.S. Edouard Brongniart (1830-1903), peintre ; 3 P.A.S. Edouard Ernest Prillieux (1829-1915), botaniste ;
• 2 L.A.S. Félix Fournier (1803-1877), évêque du diocèse de Nantes ;
• L.A.S. Emile Duclaux (1840-1904), physicien, biologiste et chimiste, successeur de Pasteur à la tête de l’institut du même nom ;
• L.A.S. Pierre Decourcelle (1856-1926), romancier et dramaturge : « Vendredi 11 septembre Madame nous avons seulement vu Mde Sarah Bernhardt hier à Andernos. A son grand regret elle ne peut nous donner aucune de ses maisons de Belle-Isle en Mer. Toutes les trois sont bondées de réfugiés belges… »

Adjugé : 200 €
Inscrivez-vous à notre newsletter :
Suivez-nous :