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26ème VENTE GARDEN PARTY

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Lot 245
CONSOLE d'APPLIQUE rectangulaire en acajou et placage d'acajou, ouvrant à un tiroir. Montants antérieurs en console à volutes et griffes de lion, ornés de feuilles d'acanthes et cannelures. Montants arrières en pilastre à fond de glace. Base socle échancrée. Ornementation de bronzes dorés : volutes de branches fleuries, palmettes et couronnes de feuillages. Dessus de marbre portor (réparé).

Estampillée A. Jacob Fs et Cie. R de Bondy 30.
Estampille utilisée par Georges Alphonse Jacob-Desmalter de 1825 à 1830.

Époque Restauration.

Haut. 94, L. 130, Prof. 45 cm.

Fils de François Honoré Georges Jacob Desmalter et petit fils de Georges Jacob, il est le dernier représentant de la plus importante dynastie d'ébénistes qui participa à l'essor et la diffusion du gout français de l'époque Louis XVI à la monarchie de Juillet. Fournisseurs de la Cour et de la famille royale sous l'Ancien Régime, ils durent leur salut et la survie de l'entreprise à la protection du peintre David. Dès le Consulat, ils bénéficièrent des commandes de Bonaparte et deviendront les plus importants fournisseurs du mobilier impérial. Georges Alphonse Jacob-Desmalter (qui a commencé sa fonction chez l'architecte Percier) participa à la rénovation du style du mobilier en développant le style néo-gothique et gothique troubadour. Ainsi, dans la période 1825-1831, où il utilise l'estampille frappée sur notre console, il meuble le château de Rosny de la Duchesse de Berry. Dans cette période de transition, notre console est l'une des dernières réalisées dans la tradition du mobilier néoclassique impérial.
Adjugé : 4 000 €
CONSOLE d'APPLIQUE rectangulaire en acajou et placage d'acajou, ouvrant à...
Lot 245
Lot 256
GUÉRIDON en placage de frêne à trois montants colonnes à bagues et chapiteaux de bronze à entretoise échancrée. Plateau de lave à décor pompéien en figure rouge sur fond noir et polychrome d'un char de Vénus et de quatre divinités entourés de griffons ailés et rinceaux feuillagés.

Époque Charles X.

Haut. 75 cm, Diam. 61,5 cm.

Sous la Restauration, les guéridons sont à la mode. Mises au goût du jour par l'administrateur de la Manufacture de Sèvres, Alexandre Brongniart, dont il arrête lui-même les principes généraux dans un mémoire destiné au Garde Meuble de la Couronne en 1823, ces petites tables rondes font l'objet de nombreux projets de décor. Si la peinture sur porcelaine connaît, avec Jean-Charles Develly et Moïse Jacobber, son heure de gloire, les recherches sur d'autres supports comme l'ardoise, la lave volcanique ou la pierre mobilisent tout autant les peintres que les savants. C'est ainsi que pour l'Exposition des Produits de l'Industrie de 1834, l'architecte Jacques-Ignace Hittorff présente un panneau émaillé sur lave volcanique dont la critique loue aussi bien la perfection matérielle que la richesse des couleurs. Malgré le soutien actif du comte Chabrol de Volvic, préfet de la Seine sous Louis XVIII, ces recherches n'aboutiront pas, faute de moyens et de véritable intérêt commercial.
La peinture sur ardoise demeura, elle aussi, toujours marginale.

Remontant probablement vers 1830 ou peut-être avant, ce guéridon témoigne d'une réelle maîtrise stylistique. Si l'inspiration est d'évidence italienne, renvoyant au décor dit à raffaellesche, elle s'inscrit dans la tradition de la peinture décorative de la fin du règne de Louis XVI. En effet, le répertoire ornemental reprend les mêmes arabesques et les mêmes références à l'Antiquité que dans les hôtels particuliers de la fin du XVIIIème siècle. On pense au boudoir de l'hôtel d'Aumont, mais plus certainement au salon de l'hôtel Hosten, créé en 1793 par Claude-Nicolas Ledoux et Rousseau de la Rottière, dont les panneaux peints de grotesques sont aujourd'hui conservés dans les collections du J. Paul Getty Museum. Sur l'un des panneaux supérieurs des portes, la composition s'organise symétriquement : une vasque fleurie, un sarcophage sculpté d'une frise et deux cariatides ailées dont le corps se termine en enroulements de feuillages. Ce guéridon reprend cette forme très architecturée en substituant, aux femmes ailées, des griffons. Il pourrait avoir été exécuté par un artiste parisien qui, très certainement, a travaillé dans le domaine du grand décor intérieur.
Mais l'attribution à un peintre attaché à la Manufacture de Sèvres n'est pas exclue non plus. PH. R.
Adjugé : 45 000 €
GUÉRIDON en placage de frêne à trois montants colonnes à...
Lot 256
Lot 300
PENDULE de L'AFRIQUE
en bronze ciselé, doré ou patiné, à décor d'une Africaine assise sur le cadran. Elle est vêtue d'un pagne à plumes. Ses yeux sont émaillés en sulfure bleue. Elle tient un arc à la main gauche et porte un carquois sur son dos. Ses pieds en bronze doré reposent à droite sur une tortue, alors qu'elle est flanquée à gauche par un fauve. Le cadran indique les heures et les minutes en chiffres arabes, par tranche de dix. Les aiguilles dorées sont à motif de fleurs de lys. La pendule repose sur une base ovale à doucine et ressauts, ornée en bas-relief d'une frise de puttis africains pêcheurs, chasseurs et cueilleurs, de guirlandes de fruits, de têtes de faunes et de serpents enlacés. Six pieds toupies finement ciselés de feuillages la supportent.

Le dessin original de cette pendule titré «l'Afrique» fut déposé par le fondeur-ciseleur parisien Jean-Simon Deverberie en l'An VII (1799). Il est conservé à la Bibliothèque Nationale.

Premier tiers du XIXe.

Haut. 47, Larg. 39, Prof. 16,5 cm.
(petit éclat d'émail sur le cadran).

Provenance : collection particulière, La Rochelle.

rouillac.com, le plus :
- présentation des pendules au nègre,
- vu à la télévision sur TV Tours, "Questions d'expert", 22 octobre 2013

"Les pendules "au Nègre" ont connu un succès considérable et durable, marquant, en plein règne du néo-classicisme, les débuts du courant romantique. Elles ont été produites en grand nombre sous le Directoire et sous l'Empire, et même sous la Restauration. Les bronziers s'en sont donné à coeur joie en multipliant les contrastes entre la dorure et la patine noire destinée évoquer la peau sombre des personnages. les yeux sont fréquemment peints ou émaillés. Une certaine naïveté se fait jour dans la plupart des pièces et leur confère une saveur particulière. En fait, tous ces "Nègres" et "sauvages" sont charmants, bien habillé, plutôt joyeux, bref, très idéalisés alors que, dans la plupart des cas, leur existence n'avait rien d'idyllique. (...)

Les modèles plus luxueux, plus nobles pourrait-on dire, représentent une femme élégante, toujours noire de peau, vêtue d'un pagne, assise avec dignité sur le cadran. L'une d'elles, armée d'un arc, de flèches et d'une lance est accompagnée d'une lionne et d'une tortue et symbolise l'Afrique."

in Pierre Kjellberg, "Encyclopédie de la pendule Française", les éditions de l'Amateurs, 1997, pp. 347-348, modèle reproduit pp. 350-351.
Adjugé : 18 500 €
PENDULE de L'AFRIQUEen bronze ciselé, doré ou patiné, à décor...
Lot 300
Lot 305
Importante PENDULE TERPSICHORE en bronze ciselé, doré et patiné. Elle représente la muse de la danse et de la poésie lyrique Terpsichore, couronnée de lauriers, tenant dans sa main droite une flèche et dans la gauche une lyre. La Lyre est appuyée, à côté d'ouvrages et d'une couronne de laurier, sur une borne trapézoïdale qui accueille le cadran en bronze. Cerclé d'un serpent se mordant la queue, il indique les heures en chiffres romains et est souligné d'un bas-relief figurant le Génie des Arts. La base de forme rectangulaire est ornée d'un bas-relief figurant, de gauche à droite : deux amours aèdes chantant et jouant de la lyre, Apollon enseignant l'harmonie à Calliope et enfin, un amour, génie de l'inspiration, dictant un poème à un autre amour qui le transcrit. Elle repose sur une plinthe rectangulaire sommée d'une frise de palmettes et feuilles d'acanthe.

Époque Empire.

Haut. 79, Long. 51,5, Larg. 17,5 cm. (manque une aiguille, fente à l'arrière de la base).

Provenance : collection Sylvain Durand, château de Renay en Vendômois.

Vente sur ordonnance de Madame le Juge des Tutelles de Blois en date du 15 octobre 2013. Frais : 12% H.T.
Bibliographie :
- José RAMÓN COLÓN DE CARVAJAL, "Catálogo de Relojes del Patrimonio Nacional, éd. Patrimonio Nacional, Madrid, 1987, un modèle semblable avec la muse Mnémé reproduit p. 271, n°256.

La représentation de Terpsichore qui orne cette pendule n'est pas sans rappeler celle d'Antonio Canova (1757-1822). En effet, outre l'attitude de la muse, on y distingue la même habileté de l'artiste à lier les proportions idéales de l'Antique à l'élégance de la Renaissance italienne. Commandée en 1809 par Lucien Bonaparte, Canova ne pourra jamais remettre sa Terpsichore à son commanditaire qui est fait prisonnier par les Anglais de 1810 à 1814. En revanche il en réalise plusieurs exemplaires entre 1809 et 1816, dont deux en marbre. L'un est conservé au Cleveland Museum of Art aux Etats Unis, l'autre à la Fondation Magnani Rocca, à Parme. La Couronne d'Espagne conserve, dans ses collections, une pendule similaire figurant quant à elle la Muse Mnémé.

" Ô lyre d'or, trésor commun d'Apollon et des muses, (...) toi que la danse, prélude de la fête, écoute; toi dont les chanteurs suivent le signal, quand tu fais vibrer le début des hymnes qui conduisent le chœur, tu éteins même les traits brûlants de l'éternelle foudre ". Cette lyre que dépeint Pindare dans le Pythique I est l'attribut d'Apollon musagète, conducteur des muses. Réduisant au silence Jupiter lui-même, elle guide et accompagne chants et danses. Sous la houlette d'Apollon, c'est Terpsichore, muse de la danse, de la poésie lyrique et des chants de chœur qui, couronnée de lauriers, hérite de cet instrument par lequel elle inspire l'artiste. Cet dernier devient, de ce fait, véritable intermédiaire entre les dieux et les hommes.
Remarquable de par ses dimensions importantes, cette pendule l'est également par sa grande qualité sculpturale. Il serait de fait réducteur de qualifier cet objet de simple "pendule à sujet" sacrifiant à la mode de cette époque. Car, le regard posé sur cette pièce, il devient difficile de trancher entre sculpture à part entière et pendule.

Karl BENZ
Adjugé : 5 700 €
Importante PENDULE TERPSICHORE en bronze ciselé, doré et patiné. Elle...
Lot 305
Lot 310
VASE PENDULE aux CYGNES.
PENDULE adoptant la forme d'un vase ovoïde en bronze ciselé et doré. Le cadran émaillé blanc indiquant les heures en chiffres romains et les quarts d'heure en chiffres arabes signé "Lacroix Rue St. Denis à Paris". Le col et le piédouche à frises guillochées. Anses latérales en col de cygne à décor végétal terminé par une palmette. La panse appliquée de branchages d'olivier et d'une couronne de fleurs rubanés. Base quadrangulaire à frise de palmettes reposant sur quatre pieds patins guillochés.

Époque Empire.

Haut. 40, Larg. 16,5 cm. (égrenure à l'émail, un pied probablement rapporté).

Provenance : château de Bourgogne.

Bibliographie :
- Odile Nouvel-Krammerer (dir.), "L'aigle et le papillon : Symbole des pouvoirs sous Napoléon 1800-1815", Les arts décoratifs, Paris, 2007.
- Pierre Kjellberg, "Encyclopédie de la Pendule Française du Moyen Age au XXème siècle", éd. de l'Amateur, Turin, 1997, ill. p. 378.

"Attribut d'Apollon depuis le jour de sa naissance, et tirant le char que Zeus lui offre, le cygne s'impose comme une figure majeure des arts décoratifs, à partir du Consulat (...). À la même époque, les cygnes ornent le lit de Madame Récamier conçu par Louis-Martin Berthault en 1800, et, sa vogue se répand dans le mobilier. On le retrouve à l'hôtel de Beauharnais à Paris, dans le programme iconographique apollinien, commandé, par le prince Eugène en 1803. Le cygne est omniprésent dans l'art décoratif, pendant tout l'Empire, avant de disparaitre, à la Restauration."

-> Accéder à notre page consacrée au cygne dans les arts.
Adjugé : 1 000 €
VASE PENDULE aux CYGNES.PENDULE adoptant la forme d'un vase ovoïde...
Lot 310
Lot 311
PENDULE au CHAR DE L'AMOUR,
en bronze ciselé et doré représentant Cupidon victorieux, une palme dans la main droite, conduisant son char. Ce dernier adopte la forme d'une coquille, l'arrière figurant une vouivre. Il est tiré par deux chevaux cabrés aux yeux d'émail. Base ornée d'un bas-relief représentant le triomphe d'Apollon ornée d'une frise d'acanthe et reposant sur quatre pieds toupie guillochés. Le cadran en émail blanc indiquant les heures en chiffres romains et le mouvement squelette s'inscrivent dans la roue dont les rayons en colonne feuillagée alternent avec une palmette.

Époque Empire-Restauration.

Haut. 49, Long. 48, Larg. 15,5 cm.

Provenance : collections du château de l'Aiglerie, Anjou.

Bibliographie :
- Pierre Kjellberg, "Encyclopédie de la Pendule Française du Moyen Age au XXème siècle", éd. de L'Amateur, Turin, 1997, ill. p. 416.
- José Ramon Colon de Carvajal, "Catálogo de Relojes del Patrimonio Nacional, éd. Patrimonio Nacional, Madrid, 1987, ill. p. 146, n°123.

rouillac.com, le plus :
- présentation des pendules au char

Ce modèle de pendules dit «au char» connait un immense succès au cours du premier tiers du XIXe siècle. La Couronne espagnole conserve, dans ses collections, une pendule identique à celle que nous proposons dont le mouvement est signé d'Armingaut, actif à Paris de la fin du XVIIIe siècle jusque sous l'Empire. Une différence est à signaler : le Cupidon du Roi d'Espagne à perdu sa palme. Citons également une pendule des collections du maréchal Davout décrite ainsi en 1817 : "une pendule en bronze doré à char traîné par deux chevaux conduits par un amour". Elle ne semble se démarquer de la nôtre que par son socle de marbre vert de mer.
Adjugé : 8 500 €
PENDULE  au CHAR DE L'AMOUR, en bronze ciselé et...
Lot 311
Lot 314
Vincenzo VÊLA (Ligornetto, 1820 - Ligornetto, 1891)
"Les derniers jours de Napoléon à Sainte-Hélène".

Bronze à patine médaille signé.
Fonte de Ferdinand Barbedienne.

Haut. 56, Long. 52, Larg. 32 cm.

Repose sur une sellette en chêne.
Haut. totale : 163 cm.

Provenance :
- ancienne collection du comte de Virel, château de Ménil, Maine-et-Loire.
- par descendance, collection particulière, Saint-Cyr-sur-Loire.

Vincenzo Vêla est considéré comme l'un des plus grands sculpteurs italiens du XIXe. Originaire de Suisse, il étudie avec Cacciatari à Milan, et participe à tous les grands salons italiens. Son "Napoléon mourant à Sainte-Hélène" remporte un véritable triomphe lors de l'Exposition Internationale de Paris en 1867. L'original en marbre est acquis 120.000 francs par l'Empereur Napoléon III, qui déclara au sculpteur : "Vous n'auriez pu être plus heureux ; ce marbre est un membre vivant de notre famille et il y restera".

Mafei écrivit à propos de cette oeuvre : "Ton Napoléon, dans un corps déjà complètement exténué par les souffrances physiques et morales, montre non seulement l'intelligence dans toute sa splendeur, mais encore la flamme du génie qui rayonne et s'épanouit sur tous les nobles traits du visage et dans l'attitude magnifique de la personne. " (in Roméo Manzoni, "Vincenzo Vêla, l'homme, le patriote, l'artiste", Milan, 1906)

Exposé au château de Versailles, dans l'aile du Midi, "Napoléon mourant" est édité en bronze par Ferdinand Barbedienne dans quatre grandeurs. L'une est au format original (150 cm de haut) et les trois autres, dont la notre, en réduction.
Estimation : 6 000 € ~ 10 000 €
Vincenzo VÊLA (Ligornetto, 1820 - Ligornetto, 1891)"Les derniers jours de...
Lot 314
Lot 317
COFFRET-NÉCESSAIRE contenant une PAIRE DE PISTOLETS DE DUEL
à percussion et leurs accessoires par Gastinne-Rénette. Canons octogonaux, légèrement tromblonnés, signés à l'or sur les pans supérieurs : "Gastinne-Rénette à Paris", et numérotés 1/1 et 2/2 au tonnerre. Platines, chiens, pontets repose-doigt et calottes finement gravés d'animaux et de chimères dans des rinceaux feuillagés. Signées sous le chien. Crosses cannelées et fûts en ébène sculpté de feuillages. Pièce de pouce armoriée en argent. Accessoires : baguette de nettoyage, baguette de bourrage, tournevis, moule à balles, poire à poudre, dosette, maillet, boîte à capsules et boîte à calepin.
Coffret en placage d'ébène. Entrée de serrure et cartouche central de forme ovale en métal argenté à décor de ferronneries, volutes feuillagées et coquilles. Le cartouche aux armes d'alliance d'un prince du Saint-Empire Romain Germanique. Intérieur gainé de velours rouge. Dans son étui de protection en cuir vert estampé et monogrammé "AC".

Maison Gastine-Rénette, milieu XIXe.

Pistolets : Long. 42 cm.
Coffret : Haut. 8, Long. 47, Larg. 25,5 cm.
(quelques oxydations).

Installée en 1812 non-loin du rond-point des Champs-Élysées, la maison Gastine-Rénette fait des pistolets de duel sa spécialité. La grande qualité des mécanismes, le soin apporté aux finitions et ornements dotent ces armes luxueuses d'une renommée qui durera plus d'un siècle. Sous le Second Empire, l'armurier porte le titre de "Canonnier arquebusier de l’Empereur, du Prince Impérial, de la Reine et du Roi d’Espagne".
Ces armes sont de tous les duels, y compris en littérature. Maupassant, dans Bel-Ami, équipe Georges Duroy chez ce célèbre armurier. Notre paire de pistolets, dans un très bel état de conservation est complète de ses accessoires. Elle est l'illustration même des modèles haut-de-gamme destinés à une clientèle prestigieuse. Le coût à l'époque oscillait autour de 300 Francs or.
Adjugé : 11 500 €
COFFRET-NÉCESSAIRE contenant une PAIRE DE PISTOLETS DE DUEL à percussion...
Lot 317
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